Les moteurs qui rugissent, les cris des pneus tapant sur le macadam, des accélérations qui laissent le spectateur comme figé dans le temps. Si palpitantes soient-elles, les courses de formule 1 peuvent révéler de véritables problèmes sur la santé de ses spectateurs, notamment dû à l’importante exposition au bruit. Ce qui nous amène à nous demander quelles sont les dangers et conséquences d’une telle exposition au bruit et comment ce sport tente-t-il d’y faire face ?
Des supporteurs toujours plus exposés au danger ?
Les passionnés de formule 1 se regroupent régulièrement lors de grands prix, afin d’assister aux courses trépidantes et de supporter leur écurie favorite. Mais ce n’est malheureusement pas sans risque, loin de là même. Lors des accélérations, le spectateur peut être exposé à plus de 120 décibels, et ce pendant l’intégralité de la durée de l’événement, soit toute la journée voire même plusieurs jours. En effet les tribunes étant situées tout de même proche de la piste et bien souvent autour d’une ligne droite, l’exposition au bruit des supporteurs est très importante. Le bruit engendré par une formule 1, tourne souvent entre 120 et 145 décibels ce qui se révèle très dangereux pour notre système auditif. Pour donner un ordre d’idée, cela équivaut à un son 86 fois supérieurs aux seuils quotidiens recommandés.
Quelles sont les dangers ?
Le bruit produit par une formule 1 peut être équivalent à celui d’un avion au décollage. Le niveau sonore peut aller jusqu’à 145 dB pour les anciens moteurs, et 134 dB pour les nouveaux moteurs. Un tel niveau sonore, supérieur à 120 dB, peut provoquer des conséquences auditives très graves et même irréversibles. Cela peut aller jusqu’à engendrer une perforation du tympan, et donc par la suite une surdité partielle voire totale. Le bruit d’une formule 1 peut également provoquer des dégâts, certes moins résolutoires qu’au niveau des tympans mais pas moins importants, notamment au niveau de l’oreille interne. Plus précisément auprès des cellules ciliées, où une détérioration à leurs niveaux sera irréversible, car les cellules ciliées ne sont pas régénératrices. Ces dégâts conduisent à un traumatisme sonore, une perte d’audition, des acouphènes (sifflements, bourdonnements d’oreilles), et de l’hyperacousie (le fait de percevoir les sons plus forts qu’ils ne le sont vraiment). Pour contrer ces conséquences, il existe différents moyens de protection sonore comme les bouchons d’oreilles ou encore les casques antibruit.
Les courses de Formule 1 contraintent à s’adapter ?
Le bruit très important engendré par ces fascinantes machines à gagner, se révèle très dangereux pour l’être humain, avec des niveaux sonores nettement supérieurs au seuil maximal recommandé. Ce qui a contraint les courses de formule 1 à s’adapter, afin de protéger au maximum les coureurs, staffs, et public de ce danger sonore bien réel. Un exemple de mesure qui ont été prise : à présent lors des grands prix le staffs distribuent aux spectateurs des bouchons d’oreilles gratuitement, libre à eux maintenant de les mettre ou non. En tout cas on vous aura prévenu ! Les oreilles ne sont pas des jouets, prenez soin d’elles.
Auteur : Antoine Deman
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J’ai lu votre article, il est très intéressant et bien rédigé, assez claire.
Continuez comme ça !
Merci !! C’est très aimable !
Combien les bouchins d’oreille distribuer minimise les dangers, combien de decibels elles reduisent?
Bonjour, fidèle des sorciers et soutien du travail de Fred.. Cependant, triste du dérapage sur la video ASE. Vous avez été manipulés malgré vous avec votre émission sur l’ASE en contribuant malgré vous à redorer le blason de l’ASE (ex dass). Depuis la réunion et la creuse, rien n’a changé (d’ou le changement de nom) et les kidnaping de l’ASE continuent. Googlez sur « placement abusif ase ». Vous n’avez pas le temps d’investiguer ? Vous n’avez qu’à re-analyser votre propre émission: Vous citez un réunionais qui demande 1 milliard de dédommagement à l’état et vous indiquez « en toute logique » que la réponse a été la mise en place d’une ligne téléphonique. et vous ne faites aucun commentaire comme si c’etait normal et attendu ce niveau de réaction !! Votre témoin indique que l’enfant n’a pas le droit de parole et ca doit changer car il n’y a que les adultes qui décident.. et la témoin cite une 10aine de professions d’adultes à plusieurs reprises. Jamais les parents sont cités comme adulte informés. C’est juste en effet, il ne sont jamais impliqués (encore moins informés) dans les réunions d’équipe (oui je vous ai dit aujourd’hui, c’est comme pour la creuse, l’ASE kidnape les enfants et fait comme si les parents n’existent pas). Les jeunes non plus, de toute façon que faire de sa parole ? Car elle est toujours interprétée, soit en disant qu’il a été manipulé si ca va dans un sens, ou en disant qu’il faut l’entendre, si ca va dans l’autre sens. Vous recevez l’argument que les décisions sont prises en équipe. Est ce vraiment un argument recevable ? une équipe sans l’enfant, sans les parents, et on sait que les équipes sont capable du meilleur comme du pire n’est ce pas (cf 1940 qui a enrolé beaucoup de monde.. cf les enfants ukrainiens qui ont été envoyés en russis aussi par une équipe .. )? donc est ce un argument recevable et à rediffuser qu’il y a une équipe ? Tous les membres de l’équipe partagent les même intérêts à se partager l’argent du département et se renvoient l’ascenseur. Que faire maintenant ? l’autruche ? La phrase de l’émission qui m’a décidé à écrire, c’est: ‘on se demande si on continue de protéger l’enfant ou on le remet dans sa famille.’. C’est l’ASE qui est un danger pour les enfants qui doivent être protégés de l’ASE. Vous indiquez que 100% ont été violés il y a 50 ans. Et aujourd’hui avez-vous demandé combien ? toujours un nombre de 2 chiffres (en ajoutant les prostitués biensûr on parle de 20, à 80%). La proportion violés/prostitués qui l’étaient l’année avant d’être à l’ASE est inférieure à l’année après avoir intégré l’ASE. Vous citez un coup de fouet comme une violence. C’est juste. Mais une allégation de violence est elle une violence ? Une allégation d’une giffle (allégation c’est à dire qui a été classé sans suite après enquête de la police et le procureur) conduit au placement de l’enfant par l’ASE… et donc à sa prostitution avec une proba à 2 chiffres. L’état de droit ? nullement il n’y a pas d’appel possible vu que les délais d’appel conduisant à réouvrir le dossier une fois l’enfant adulte, le mal est fait et donc la loi qui prévoit un appel, pas respecté. Il y a tant de points illégaux. Ceci est le message suite à témoignage d’un cas malheureux ? réanalysez votre émission. Pour ma part je me suis posé la question mais j’ai vu et interrogé des 10aines de cas toujours la même histoire, pas du tout celle que vous présentez comme si l’ASE n »était plus la DASS des enfants réunionnais de la creuse! bonne continuation dans la science et laissez donc la politique.
Je ne vous laisse pas mes coordonnées, car il y a plein d’associations que vous pourriez contacter si vous avez besoin comme par exemple de votre génération télévisuelle (à Fred), Karlzéro.